Dinde : n.f. : créature sauvage, irascible, mélodique, marxisante, coprophile et mélancolique. Créée en 1968 lors d'un rituel politico-pornographique impliquant trois ministres deux mulets virgule cinq et une formule kabbalistique de rejuvénation du monde, la dinde serait à l'origine d'une quinzaine de contre-révolutions mondiales et de la BD belge. Numérique, la dinde se consomme chaude, papier, elle se récite.
Des attaques de dinde se produisent régulièrement dans les centre villes métropolitains de l'occident post-industriel : pour s'en prémunir, sortez casqués, ne gloussez pas en dehors des horaires d'ouverture.
Au sommaire : Stéphane Goarnisson, Charles Mieux (qui porte bien des noms et bien des coupes de cheveux), David Ortsman, Stéphane Mercier, Aurélien Leif et Yann Damezin.
On connaît la chanson, pour la version imprimable on rejoint le cortège de gauche ici, pour la version lecture on rejoint la tête de manif, là.
J'en profite pour dire que la dinde a frappé il y a deux mois, dans sa version Comix ; on y retrouve quelques pages maison précédemment parues dans le turkey magazine d'allez donc savoir quand, mais le sommaire en est long comme un relevé de compte panaméen, alors le turkeyleeks, c'est par ici.
En attendant la révolution, servez-vous, votez Dinde.
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